Les premières recherches sur l’influence du cannabis sur la maladie de Parkinson remontent aux années 70. A cette époque, une poignée de scientifiques s’est intéressée à cette idée suite aux témoignages de patients. Ces malades avaient constaté une diminution des symptômes après avoir consommé du cannabis. Du coup, les patients s’étaient tournés vers la plante comme traitement sans attendre que la science n’entame des recherches.
La maladie de Parkinson se caractérise par un déclin progressif des neurones du cerveau. Cette maladie dégénérative entraine une perte du contrôle des mouvements. Les symptômes qui en résultent sont une rigidité et brutalité des gestes de manière incontrôlée. Difficile dans ces conditions de s’alimenter ou s’hydrater normalement. Le langage devient par conséquent difficile mais aussi la mémorisation et la concentration.
Les premiers signes de la maladie font leur apparition entre 50 et 70 ans. En France et au Canada, l’âge moyen de la contraction de la maladie se situe à l’âge de 57 ans. Dans le monde, 300 000 personnes sont affectées par la maladie. Les Blancs sont plus touchés que les Noirs et les Hispaniques. Ce sont les Asiatiques qui s’en sortent le mieux avec le taux le plus faible de personnes atteintes par la maladie.
La dégénérescence des neurones a lieu dans la « substance noire » du cerveau. C’est dans cette zone du cerveau que la dopamine est produite. La dopamine a pour effet de contrôler les mouvements et de provoquer un sentiment de plaisir, de satisfaction et de désir. Sans dopamine, ces fonctions sont désactivées. L’impact est à la fois physique et psychologique.
Une information récente fait état de la douleur ressentie chez les malades. Jusque-là, les douleurs n’avaient pas été mises en lien avec la maladie, mais plutôt comme des effets secondaires. 50 à 80 % des malades sont touchés par ces désagréments qui contribuent aux troubles cognitifs.
Pour le moment, aucun chercheur ne se trouve en mesure d’expliquer pourquoi la maladie se déclare. Certains parlent de facteurs environnementaux, d’autres de facteurs génétiques. Corinne Gouget, une nutritionniste engagée dans la lutte contre les additifs alimentaires, suggéraient avec vigueur de l’action de l’aspartame et du glutamate monosodique – présent dans la très grande majorité de l’alimentation issue de l’industrie agro-alimentaire – sur le déclenchement de la maladie.
Une étude remontant à 2004 avait prouvé les bienfaits du cannabis sur la maladie de Parkinson. Les tests avaient été effectués en laboratoire sur des rats.
Les chercheurs ont d’abord inoculé à ces animaux un produit jouant le même rôle que celui du THC. Puis, ils ont injecté une toxine dont l’action reproduisait les mêmes symptômes que ceux de la maladie.
Les scientifiques ont ensuite analysé les cerveaux des cobayes. Ils n’ont pas pu distinguer de différence entre les cerveaux des sujets ayant subi l’expérience et ceux de rats qui n’avait pas été traités, en bonne santé donc.
Déjà plusieurs études démontrent l’efficacité du cannabis sur des problèmes moteurs et cérébraux (crises d’épilepsie et sclérose en plaque).
En 1985, un patient a accepté de participer à une étude. Il souffrait de troubles moteurs : contractions musculaires intenses et involontaires sur tous les membres ainsi que de mouvements anormaux provoqués par les effets secondaires de la Lévodopa (L-DOPA), le médicament le plus efficace encore aujourd’hui contre la maladie de Parkison.
L’étude rapporte que les médicaments pharmaceutiques ont apporté des résultats infimes mais positifs.
En revanche, les tests réalisés avec le CBD se sont révélés nettement plus efficaces. Des doses de cannabidiol variant de 100 à 200 mg par jour ont diminué la totalité des symptômes de manière significative et 30 % la dyskinésie (mouvements incontrôlés). Des doses supérieures ont été administrées au malade. Aucune amélioration n’a été constatée. Au contraire, une recrudescence des symptômes a été constatée avec des effets secondaires comme des vertiges et de la somnolence.
Après une interruption complète du traitement au CBD, l’affection a repris le dessus avec des effets très sérieux.
Un an plus tard, en 1986, une autre étude du même genre a été réalisée. Les résultats sont similaires à ceux de la première. Les troubles du tonus musculaire ont été améliorés de 20 à 50 % selon les as.
En 2013, une étude en provenance d’Australie confirme les précédentes.
Le panel de patient avait une moyenne d’âge de 66 ans. La sévérité de leur maladie a été mesurée à l’aide de l’UPDRS (Unified Parkinson’s Disease Rating Scale). Cette méthode permet d’attribuer une valeur chiffrée de l’impact de la maladie sur les patients. Cette évaluation a été réalisée avant la prise de cannabis. Ces malades s’étaient d’eux même tournés vers la consommation de cannabis à défaut de traitement médical traditionnel efficace. Après l’équivalent d’un joint ou d’une vaporisation, les patients ont témoigné d’un soulagement dont la durée variait de 2 à 3 heures.
Enfin, en 2014, un espoir pour la mise au jour de l’efficacité du cannabis sur les troubles moteurs est arrivé d’Israël. Des neuroscientifiques ont définitivement prouvé l’efficacité thérapeutique du cannabis. Cette action avait été jusque-là rendue impossible en raison de la difficulté à se procurer du cannabis médicinal.
NL x Apollo G13 | ||||||||||
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