L’Organisation Mondiale pour la Santé estime à 121 millions le nombre de personnes souffrant de dépression dans le monde. Cette maladie touche sans distinction tous les milieux sociaux et toutes les catégories professionnelles.
Le cannabis peut-il lutter contre la dépression ? La réponse est oui et non.
Certaines pathologies sont aujourd’hui irréfutablement traitées par le cannabis avec d’excellents résultats. Des recherches ont été menées et les conclusions sont scientifiques. En ce qui concerne le traitement de la dépression par le cannabis, aucune étude sérieuse ne s’est penchée sur la question. Alors, en fonction des informations fiables existantes à propos de l’action du cannabis sur le cerveau et le témoignage de consommateurs, il est question ici d’essayer d’y voir plus clair.
D’après les études les plus récentes (1), la dépression touche entre 5 et 8 % de la population française soit 2 à 3 millions de personnes. L’IPNES précise que 19 % de la population française âgée de 15 à 75 ans a connu ou connaitra un épisode dépressif dans sa vie.
La dépression a un prix. Elle représente 1,3 milliards d’euros en coût de santé. Il ne s’agit là que des chiffres des médicaments. Ce rapport ne prend pas en compte les coûts indirects comme ceux liés aux arrêts de travail
Au Québec, les chiffres sont similaires à ceux de la France. Une personne sur 5 sera touchée par ce mal au cours de sa vie.
En Belgique, le chiffre est moindre. Une personne sur 10 est en dépression d’après une étude réalisée en 2013.
(1) Enquête baromètre santé IPNES, 2005 ; Beck, 2007 ; Briffault et al., 2008)
Les endocannabinoïdes sont connus pour réguler l’humeur. Après une journée stressante, un joint aura pour effet de détendre un individu en bonne santé mentale. Le cannabis touche en effet la partie du cerveau stimulant le « tout va bien ». Mais, chez les personnes atteintes de dépression, nul n’est capable d’affirmer si le cannabis à un effet positif, négatif ou neutre.
Les témoignages à ce sujet sont très variés. Certaines personnes atteintes de dépression ont essayé le cannabis pour essayer d’aller mieux. Pour certaines d’entre elles, le test s’est soldé par une augmentation de l’intensité du syndrome. Cela ressemble au fameux bad trip dont certains consommateurs manifestement intolérants au cannabis en subissent les conséquences. Le mélange cannabis/médicaments peut aussi se transformer en un cocktail extrêmement désagréable.
Pour d’autres, il n’y a aucune amélioration de leur état de santé, mais, pas d’aggravation pour autant.
Et puis, il y a ceux à qui le cannabis réussit…
Dans certains cas, le cannabis lutte contre la dépression. Des personnes dépressives ont essayé de fumer un joint. Comme ça. Pour voir. Et, quelques bouffées plus tard, le soulagement était ressenti. L’esprit et le corps se détendent et les effets d’apaisement gagnent du terrain. Des malades ont même pu arrêter leurs traitements médicaux aux effets secondaires tels, qu’il faudrait un deuxième site internet comme celui de Queen Seeds pour tous les répertorier. Le cannabis, consommé avec un vaporisateur à des fins médicales, est la manière la plus saine et la plus efficace d’auto-administration. Dans ce cas, le cannabis ne présente aucun effet secondaire. Enfin, si, il y en a un lorsque le produit est de bonne qualité : la bouche sèche. C’est le seul.
Les graines de cannabis à fort taux en THC de Queen Seeds
Jack Widow 2.0 de Queen Seeds : 24 % de THC
Big Jack de Queen Seeds : 22 % de THC
Mexicativa de Queen Seeds : 21,5 % de THC
Jack Widow de Queen Seeds : 21 % de THC
B56 de Queen Seeds : 21 % de THC
Responsabilité Médicale
Les informations sur le cannabis médicinal contenues sur ce site (ou liées) n’ont qu’un objectif informatif. Queen Seeds vous invite à consulter votre médecin qui est votre seul référent.